La Maladie d'Alzheimer

Une interaction entre intestins et cerveau ?

 

Dr Othman Ghribi

 

Conférence - Atelier - Echange

20 Avril 2018   -  19:30 heures

ESPACE GAELE'M, 15 rue de Crussol, 75011 Paris, Métro Oberkampf

Othman Ghribi obtient son Doctorat en pharmacologie clinique et expérimentale en 1994 à l’université René-Descartes, Paris-V, et termine ses études post-doctorales à l’université de Québec (1996-1999). Il est soutenu par la Société Alzheimer au Canada.

 

Dr Ghribi intègre le Département de pathologie à l’université de Virginia (1999-2004) et accepte ensuite le poste de professeur adjoint au Département des sciences biomédicales à l’Ecole de médecine de l’université de North Dakota où il enseigne maintenant comme professeur.

 

Il reçoit le prix Thomas J. Clifford Faculty Achievement Award pour l’excellence de sa recherche. Il est membre du conseil consultatif médical et scientifique de la Alzheimer’s Association Minnesota-North Dakota.

 

Dr Ghribi a publié plus que 90 articles et fait partie du comité éditorial des revues : “The Journal of Alzheimer’s Disease”, “Current Alzheimer’s disease” et “Neurodegenerative Diseases”.

 

La recherche actuelle du Dr Ghribi est financée par l’Institut national de santé et porte sur le rôle des facteurs environnementaux (chimique et diététique), et sur la susceptibilité génétique dans la physiopathologie de la maladie d’Alzheimer.

 


Propos de la conférence

 

Introduction

La Maladie d’Alzheimer :  

Qu’est-ce que c’est ? 

Ce que l’on sait, et ce qui reste à  savoir.

Causes ou facteurs de risque.

 

Constat

Limite des “traitements”  disponibles : “En l’absence de traitement curatif de la maladie d’Alzheimer, il reste beaucoup à faire en matière de recherche pour trouver des traitements modificateurs de cette maladie.”

 

Pendant la Alzheimer’s Association International Conference® 2017 à Londres en Juillet 2017 - le forum le plus important de la communauté de la recherche dans le domaine de la démence - a été postulé :

“Vivre plus sainement pourrait mondialement réduire la démence d'un tiers” (The Washington Post)

“Un cas sur trois de démence pourrait être évité par des changements de style de vie.” (London Evening Standard).

 

Conclusion

Pistes non-médicamenteuses : 

 - Réduire le risque à temps 

 - Exercice physique

 - Musique / Art

 - Régime alimentaire

 

Questions de la part du public

 

Participation au frais : 25 euros

Réservation: jb@gaelem.com